La beauté d’une musique qui ne compte pas

La beauté d’une musique qui ne compte pas

édition et traduction (de l’anglais) : Lionel Bize, Laura Daengeli, Christian Indermuhle, Christine Ritter, Thibault Walter

La beauté d’une musique qui ne compte pas avait pour titre original The Beauty of Irrelevant Music. Il a été finalisé le 18 août 1970 à La Jolla en Californie. Il fut lu pour la première fois en public par l’auteur le 27 mars 1971 lors d’une performance à l’Université de Pittsburgh, en lien avec une projection diapositive des graphes générés par ordinateur d’Herbert Brün (de la série Mutatis Mutandis). La lecture fut ultérieurement incluse dans des «Collaborations».

Chacune de ces collaborations formait des spectacles totaux mêlant plusieurs performances simultanées données par des danseurs, écrivains, projectionnistes, musiciens, ingénieurs lumière et laser. Collaboration One eut lieu le 17 novembre 1972 à l’Université de San Diego en Californie, avec six traceurs, sept projectionnistes, des bandes à deux et quatre pistes et un laser. Le texte fut enfin publié à compte d’auteur en 1976, puis performé par Gaburo en d’autres occasions.

Les archives de Kenneth Gaburo se trouvent dans les fonds de l’Université de l’Illinois à Urbana-Champaign.

  • Date de parution : 17 octobre 2018
  • ISBN : 978-2-37466-012-7
  • 15,00 €
  • 14,8 x 20,3 cm
  • 52 pages
  • 81 g